Étude de cas :
British Antarctic Survey
British Antarctic Survey (BAS) a récemment installé un second banc de charge Crestchic pour protéger des données critiques et les moyens de subsistance des scientifiques dans deux de ses principales stations de recherche, dont l’une est créditée de la découverte du trou dans la couche d’ozone de 1985.
Données clés
Client : British Antarctic Survey
Emplacement : barrière de Brunt, Antarctique
Exigences : Banc de charge seulement résistif de 200 kW
« Pour nous, Crestchic était le fournisseur idéal, puisqu’il nous permettait de concevoir exactement ce que nous voulions tout en maintenant un coût raisonnable. Nous avons bénéficié d’un si bon service et d’un produit tellement robuste la première fois que nous nous sommes à nouveau tournés vers Crestchic pour notre dernière installation à la station Rothera. Il est impossible de survivre ici sans groupes électrogènes résistants et, comme nous ne pouvons pas nous permettre de perde l’alimentation, les bancs de charge sont essentiels à nos installations en Antarctique. »
Mark Wales, Responsable des installations
British Antarctic Survey
L’équipe de British Antarctic Survey a d’abord consulté Crestchic au sujet d’un banc de charge pour tester l’électricité produite par les groupes électrogènes de la station Halley VI, située sur la barrière de Brunt, en Antarctique. Halley est responsable des recherches liées à l’appauvrissement de la couche d’ozone, à la chimie atmosphérique polaire, à l’augmentation du niveau de la mer, au changement climatique et à la météorologie. La découverte, en 1985, du trou dans la couche d’ozone s’appuyait sur des données provenant de Halley et a fait les gros titres dans le monde entier, entraînant ainsi l’accord international d’interdiction des chlorofluorocarbones (CFC).
Halley se trouve dans la zone aurorale, idéalement située pour la recherche sur la « météorologie de l’espace », et British Antarctic Survey a mené le développement d’un « système de prévisions météorologiques pour l’espace », SPACECAST, financé par l’UE, qui constitue une ressource précieuse pour l’industrie des satellites. British Antarctic Survey émet des recommandations au gouvernement sur l’influence de la météorologie de l’espace, ce qui a entraîné l’inclusion de ce sujet dans le Registre national des risques d’urgence civile du Conseil des ministres anglais (2012) au même titre que les vagues de chaleur et les fortes chutes de neige.
En été, pendant la saison de fréquentation maximale (entre décembre et février), le personnel de Halley compte environ 70 personnes, avec des températures qui restent proches de zéro. Pendant les mois d’hiver, d’avril à octobre, les températures descendent jusqu’à -30 ºC et 16 personnes en moyenne occupent la station. Crestchic a pu fournir un banc de charge résistif de 200 kW destiné à empêcher les groupes électrogènes de subir des pannes pendant cette période extrême et à protéger les données issues des sondes lancées quotidiennement pour la surveillance continue de la planète.
Le banc de charge a été installé dans la nouvelle station Halley, Halley VI, issue d’un concours international de conception lancé en collaboration avec l’Institut royal des architectes britanniques. La station peut être surélevée pour vaincre l’accumulation de neige et repositionnée lorsque le site actuel se rapproche trop du bord de la barrière. Elle a été entièrement achevée en 2012.
Suite à la mise en œuvre réussie à Halley VI, British Antarctic Survey a commandé un banc de charge similaire à Crestchic pour la station Rothera, située à Rothera Point, sur l’île Adélaïde. Il s’agit du centre logistique pour l’Antarctique, qui abrite des laboratoires de biologie bien équipés et des installations pour des recherches très variées, dont la glaciologie, la géologie, la géophysique et la biologie. Le personnel de Rothera connaît son maximum d’environ 100 personnes en été et se limite à 22 personnes en hiver.
Mark Wales, Responsable des installations de British Antarctic Survey a déclaré : « Pour nous, Crestchic était le fournisseur idéal, puisqu’il nous permettait de concevoir exactement ce que nous voulions tout en maintenant un coût raisonnable. Nous avons bénéficié d’un si bon service et d’un produit tellement robuste la première fois que nous nous sommes à nouveau tournés vers Crestchic pour notre dernière installation à la station Rothera. Il est impossible de survivre ici sans groupes électrogènes résistants et, comme nous ne pouvons pas nous permettre de perde l’alimentation, les bancs de charge sont essentiels à nos installations en Antarctique. »
Pour Paul Brickman, de Crestchic : « British Antarctic Survey est un organisme de plus avec qui nous sommes fiers d’être associés, car son travail en Antarctique est fondamental pour le développement au niveau mondial. »
Pour plus d’informations sur British Antarctic Survey, rendez-vous sur : www.antarctica.ac.uk
Photographie de Halley (en haut) de British Antarctic Survey© et A. Dubber©
Photographie de Rothera (en bas) de British Antarctic Survey©
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Pourquoi utiliser un
banc de charge ?
Les bancs de charge sont principalement utilisés pour tester la puissance électrique des générateurs diesel, des turbines à gaz et des systèmes UPS lors des travaux de mise en service et de maintenance.
Les bancs de charge sont utilisés pour simuler les charges électriques réelles, ce qui permet une configuration et une mise en service essentielles qui garantissent que tous les paramètres électriques et de contrôle sont satisfaits avant la mise sous tension en ligne de l’équipement de génération / secours.